🕵️♂️La bienveillance : mais qu’est-ce que c’est que ce bazar ?
C’est ce petit truc en plus qui fait qu’on tend la main plutôt que le pied, qu’on file un coup de pouce au lieu d’un coup de pression. Bref, être sympa, gratos, juste pour le plaisir. Et selon le World Happiness Report 2025, plus on pratique, plus on a la patate !
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Où trouve-t-on les gentils du quartier mondial ?
Les boss du bonheur :
Suspense insoutenable… et bim, sans surprise, ce sont encore les pays nordiques qui décrochent la timbale. Finlande, Danemark, Islande… Ils ont compris que l’entraide, c’est la meilleure des assurances vie. Pendant que d’autres comptent leurs sous, eux misent sur la confiance. Et ils ont bien raison !
Qui met la main à la pâte ?
Le rapport a passé six critères au crible. Voici les champions toutes catégories :
- Porte-monnaie en feu : Indonésie, Myanmar, Ukraine, la main sur le cœur… et sur le chéquier.
- Bénévoles en série : Libéria, Kenya, des héros du quotidien.
- Coup de main express : Jamaïque, Sierra Leone, prêts à aider sans poser de questions.
- Portefeuilles retrouvés (par un voisin) : Pays-Bas, Norvège, où les objets perdus retrouvent leur maison.
- Portefeuilles retrouvés (par un inconnu) : Norvège, Iran, la confiance en l’humanité existe encore !
- Portefeuilles retrouvés (par la police) : Norvège, Finlande, où même les flics jouent les bons samaritains.
Pourquoi la gentillesse, c’est bon pour la santé mentale ?
La contagion du bonheur :
La gentillesse, c’est comme un virus (mais en bien) : plus il y en a, plus tout le monde va mieux. Les sociétés qui misent sur la bienveillance ont une qualité de vie qui frôle l’extase.
Le COVID-19 a boosté la gentillesse (oui, oui)
Comme quoi, même les pires crises ont du bon : depuis la pandémie, la solidarité a explosé. Bon, en 2024, ça s’est un peu calmé, mais on reste largement au-dessus des niveaux d’avant.
Moralité : soyez sympas, bordel !
C’est simple comme bonjour : plus on est bienveillant, plus on est heureux. Alors, plutôt que de râler, autant distribuer un peu de bonne humeur. Ça ne coûte rien et ça fait un bien fou.
Faire confiance, c’est bon pour le moral :
Un portefeuille perdu vaut mieux qu’un lingot :
Tenez-vous bien : croire qu’un inconnu nous rendra notre portefeuille fait plus pour notre bonheur qu’un doublement de salaire ! Oui, vous avez bien lu. Selon Helliwell et son équipe, cette simple conviction nous rend presque deux fois plus heureux que si on sortait du chômage.
Mieux encore : cette confiance booste notre résilience. Divorce, maladie, galères financières ? Ceux qui croient en la gentillesse des autres encaissent mieux les coups durs. Comme quoi, voir le verre à moitié plein, ça aide à ne pas s’étouffer avec.
Quand la gentillesse réduit les écarts :
Une société où on s’attend à être bien traité, c’est une société qui va mieux. Dans les pays où la bienveillance est la norme, l’écart entre les plus heureux et les plus mal lotis est moins abyssal. Pourquoi ? Parce que la gentillesse agit comme un amortisseur de galères. Et ça, ce n’est pas juste une belle idée, c’est prouvé.
Sommes-nous trop pessimistes ?
Le biais du JT : voir le pire et zapper le reste :
Soyons honnêtes : à force de bouffer des infos anxiogènes, on en arrive à penser que le monde est une jungle peuplée de goujats et de voleurs. Résultat ? On sous-estime gravement la gentillesse ambiante.
L’expérience du portefeuille : surprise, les gens sont plus sympas qu’on croit !
Dans 40 pays, des chercheurs ont « égaré » des portefeuilles pour voir ce qui se passait. Surprise : 1,8 fois plus ont été rendus que prévu ! À Toronto, 80 % ont retrouvé leur proprio, soit trois fois plus que ce que les habitants imaginaient. Moralité : on se méfie trop, alors que la plupart des gens ont encore un cœur.
Voir la gentillesse, c’est l’encourager.
Regarder le bon côté, ça change la donne :
Et si on arrêtait de se focaliser sur le pire ? Une étude a montré que les étudiants sous-estimaient l’empathie de leurs camarades. Mais une fois qu’on leur a prouvé qu’ils avaient tort, ils sont devenus plus sociables et plus solidaires. Comme quoi, croire en la gentillesse, c’est l’alimenter.
Les petits gestes qui font la différence :
Un portefeuille retrouvé, une main tendue, un sourire gratuit… Ces détails semblent anodins. Pourtant, ce sont eux qui tissent la confiance et font qu’une société se sent en sécurité. Alors, plutôt que de râler, pourquoi ne pas semer un peu plus de bienveillance autour de soi ?
Spoiler : ça change tout.
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Une magnifique méditation de Cédric Michel qui ouvre le cœur :
A propos des auteurs :
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Et vous, avez-vous déjà observé ces subtiles variations de votre état mental au fil de la journée ? Imaginez si nous pouvions mieux comprendre notre propre esprit en alliant science et introspection. Pensez-vous que la méditation pourrait nous aider à affiner cette perception et à mieux réguler nos émotions ? Partagez vos expériences et réflexions en commentaires !
